Protection des modèles de broderie : ne tombez pas dans l'illégalité !
Vous êtes passionné par la broderie et vous aimez broder des œuvres uniques. Mais saviez-vous que les créations sont protégées par le droit d'auteur, et que les modèles que vous achetez le sont aussi ? Il est crucial de comprendre les règles pour protéger le travail des créateurs et des créatrice et de le respecter.
Le droit d'auteur (copyright) s'applique automatiquement à tous les modèles de broderie originaux. Cela signifie qu'il est illégal de les reproduire ou de les distribuer sans l'autorisation de leur créateur. Que ce soit en format papier, en fichier PDF ou sous toute autre forme, le partage de modèles est un acte de contrefaçon puni par la loi
La responsabilité de chacun dans la lutte contre la contrefaçon
Ce n'est pas seulement la personne qui partage un modèle qui est responsable. La loi française est claire : toute personne qui reçoit et utilise un modèle partagé illégalement est également coupable de recel de contrefaçon. Cela inclut aussi les administrateurs et administratrices de page ou de groupes Facebook et autres plateformes qui tolèrent ou encouragent ces pratiques, que ce soit publiquement ou en messages privés.
La protection des modèles de broderie est essentiel pour sauver notre métier et la création. Les droits d'auteur sont très importants, le partage est illégal et c'est de la contrefaçon.
Les modèles de broderie sont protégés et nous avons une responsabilité c'est de les protéger en ne les partageant pas selon les lois des droits d'auteur, copyright.
Acheter des modèles originaux, c'est soutenir les créateurs et valoriser leur travail. Soyez un brodeur(se) responsable, respectez la loi et les droits de ceux qui, comme vous, mettent leur cœur dans chaque point de broderie.
Protéger les modèles de broderie au point de croix
Dire non au piratage et au partage illégal Je fais partie de nombreux groupes de brodeuses sur Facebook. La plupart du temps, ces espaces sont remplis d’échanges passionnés et de belles inspirations. Mais parfois, ce que...
Posté le 05/11/2018
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